Guillemette Faure
L’argument de santé publique
Les professeurs sont formels : le vrai problème, ce ne sont pas les prédateurs qui rodent sur Internet, mais les dégâts des stimuli des réseaux sociaux sur le cerveau des enfants, devenus incapables de se concentrer. La dépression chez les ados a bondi. On interdit bien la vente d’alcool aux mineurs, on peut interdire l’accès des réseaux sociaux aux moins de 16 ans. Ce n’est pas pour rien qu’un responsable d’Instagram doit être auditionné par le Sénat américain pour rendre des comptes sur l’impact négatif du réseau social sur la santé des adolescents.
Lire la suite>>>
Laisser un commentaire